t

lundi 5 décembre 2016

50 à 8 ...beau score ! à vous de voir pourquoi dans cet article


Aujourd'hui un pur copier/collé très intéressent 



Un guide très complet pour optimiser les coûts de fonctionnement des équipements sportifs

....

Idées reçues

Depuis les chiffres macroéconomiques nationaux jusqu'aux éléments les plus précis pour concevoir une politique sportive locale, de nombreuses données sont passées au crible. On apprend ainsi que les villes "actives et sportives" consacrent en moyenne 6% de leur budget au sport, mais aussi que dans une commune de 50.000 habitants, environ 1.000 matchs sont disputés chaque année sur les terrains de grands jeux (football, rugby).
Ce large travail est d'autant plus utile qu'il arrive à un moment où le besoin de renouvellement ou de réhabilitation des équipements se fait cruellement ressentir. Le parc des équipements sportifs français est en effet vieillissant : l'année médiane de construction des piscines découvertes est 1976, la moitié des piscines couvertes ont pour leur part été construites avant 1983. Les salles multisports, elles, datent en moyenne de 1987. La seule catégorie d'équipements relativement récents étant celle des terrains de grands jeux en gazon synthétique, dont l'âge médian atteint tout de même seize ans en 2016.
Parallèlement à ces données, le guide recense les coûts de fonctionnement… et déconstruit au passage une idée répandue selon laquelle les terrains synthétiques reviendraient moins cher sur le long terme que les terrains en gazon naturel. Or, tant en termes d'investissement moyen initial (700.000 euros pour le synthétique contre 340.000 euros pour le gazon) qu'en termes de charges annuelles (80.000 euros contre 59.000), le synthétique alourdit la facture. Il offre tout de même un avantage certain en ce qui concerne la fréquence d'utilisation : il peut être foulé 50 heures par semaine contre seulement 8 heures pour le naturel. C'est donc en fonction des réels besoins d'utilisation que l'élu pourra faire un choix éclairé avant d'opter pour l'un ou l'autre.
....                                                                                                                                                source

1 commentaire:

  1. Sans oublier l'aspect écologique du gazon naturel qui, en plus d'être un dépolluant de l'air très efficace, permet de maintenir une température de jeu au sol convenable les jours de fortes chaleur.
    Une fois le la pelouse considérée en trop mauvais état il suffit de la décaper pour que ce déchet naturel se transforme en matière organique. Pas de dépollution lourde, chère et compliquée à payer.

    Le seul argument qui me semble valable est celui de la jouabilité quotidienne. Bien que je n'ai pas connaissance d'un terrain utilisé 50h par semaine, toutes les semaines.

    RépondreSupprimer